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Publications des lecteurs

Bonjour la bureaucratie...!

En Suisse alémanique les Romands passent pour être moins compliqués, plus légers (dans le sens positif du terme) etc. Or ce que je vis en tant que propriétaire d'une villa dans ce beau canton avec l'administration jurassienne - en l'occurence le service des impôts - dépasse de loin les lourdesses les plus graves que l'on puisse s'imaginer outre Sarine... Enervé de reçevoir chaque mois une facture pour les impôts, j'ai enfin pu obtenir la "faveur" de pouvoir payer en une fois. A l'avance bien évidemment, sans aucune déduction de rabais. On assume. Ayant donc payé la totalité 2013 avant le 31 janvier, les énervements n'arrêtent pourtant pas, car je continue à recevoir chaque mois un courrier des impôts avec un bulletin de versément XXXXXXXXXXXX. Cela me rappelle la blague de ma jeunesse où le distributeur des journaux tombé malade, explique à sa femme étonnée quand il rentre tout mouillé de sa tournée: "j'ai dû aller aviser les gens qu'il n'y aura malheureusement pas de journal aujourd'hui". Et que l'on ne me vienne pas avec l'excuse comme qoui c'est plus simple d'envoyer ces factures XXXXXXXXXXXX au lieu d'enregistrer le contribuable comme acquitté! "Simple" peut-être que oui, mais gaspillage de matériel et d'énerige aussi! Dans le secteur privé on ne pourrait pas se payer ce "luxe" de ne pas remédier à une telle situation. Et, ça fait plus de 40 ans que le premier homme a mis son pied sur la lune.... Nicolas W. Oetterli »


Foin d'idéologie, place aux solutions!

Le comité de l’initiative « Pour la protection du réseau municipal des conduites » s’obstine à vouloir empêcher ESB de se doter d’une gestion moderne et efficace permettant d’assurer sa survie ! Mais la manière dont il attaque personnellement la conseillère municipale Barbara Schwickert montre visiblement que les opposants à l’externalisation d’ESB sont à court d’arguments. L’exemple le plus récent est la lettre de lecteur parue dans le Bieler Tagblatt du 12.2.2012, dans laquelle l’ancien conseiller municipal Otto Arnold décrit en détail des événements appartenant au passé. Heureusement le Conseil municipal et le Conseil de ville prennent leur mandat au sérieux, qui est d’assurer l’avenir d’ESB. Tout comme la grande majorité du Conseil de ville, je suis fermement convaincu que la transformation d’ESB en institution autonome de droit public est la solution la plus prometteuse. La plupart des autres villes ont franchi ce pas et, à ma connaissance, aucune ne l’a regretté ! La réorganisation d’ESB de 2004 évoquée par Otto Arnold n’était malheureusement pas axée sur l’avenir. Entretemps les chambres fédérales ont décidé l’ouverture progressive du marché de l’électricité. Pour survivre, ESB doit disposer des mêmes possibilités que ses concurrents, qui s’emparent peu à peu de ses clients. D’ailleurs la nouvelle forme juridique renforce encore le contrôle démocratique par le peuple et le parlement, puisque le Conseil de ville aura le dernier mot concernant la stratégie de propriétaire (jusqu’ici le Conseil municipal). Zurich ne peut malheureusement pas servir d’exemple à ESB, car les Zurichois produisent leur propre courant, et ce de manière largement excédentaire. ESB par contre doit acheter à un prix élevé la majeure partie de son courant. Une entreprise autonome dirigée par des spécialistes sera mieux à même d’augmenter sa production propre qu’un département de l’administration. La solution choisie par le Conseil de ville et le Conseil municipal est pragmatique et équilibrée : ESB acquiert la marge de manœuvre indispensable et la ville, seule propriétaire, garde le contrôle en permanence. Les temps (et les conditions-cadre d’ESB) ont changé. Tirons-en le meilleur parti, au lieu de nous obstiner dans une guerre de tranchée idéologique et de nous laisser dépasser par les réalités. Roland Gurtner, Bienne Conseiller de ville de Passerelle »


Et mon journal?

Bizarrement, je n'arrive pas à ouvrir mon journal comme d'hab. ! J'ai bien entendu toutes les nouvelles, semble-t-il, mais je n'arrive pas à feuilleter (page 1, 2 etc...) Où est le carnet? où est le sudocu de la dernière page? Pourquoi, ce matin, je n'arrive plus sur le journal tel qu'il est présenté par écrit en cliquanr sur le lien? Y a-t-il un nouveau truc que je n'ai pas saisi? De cette manière, je n'ai aucun intérêt à continuer mon abonnement... les nouvelles du Tagi à Zürich sont plus détaillées et la NZZ de mon mari plus fouillée... Veuillez donc m'indiquer ce que je dois faire pour retrouver en tant qu'abonnée de très longue date (plus de 35 ans) le JdJ par internet sous sa forme papier! Bonnes salutations Marguerite Ladner »


Changer les mentalités

Lettre de lecteur Changer les mentalités Pour une fois, je n’ai pas apprécié le persiflage de P.-A. Brenzikofer dans le JdJ du 29 décembre 2011 à propos d’une motion au Grand Conseil visant à limiter la pollution lumineuse. Mais non, ce n’était pas la page « Impertinences », mais bel et bien celle d’Espace-Régions ! Et pourtant, notre journaliste se permet d’être impertinent envers le gouvernement et les motionnaires du PBD, dont le seul souci est d’éviter le gaspillage d’électricité en éteignant les réclames lumineuses et en renonçant à éclairer les vitrines, bâtiments et monuments à certaines heures de la nuit. J’apprécie en général l’humour de P.-A.Brenzikofer, qui contribue à égayer quelque peu des contenus politiques parfois austères. Mais ici, cela va trop loin : le ton utilisé, les mots « illuminés, satanique, obscurantisme » ont pour effet de ridiculiser des politiciens qui prennent leurs responsabilités face au tournant énergétique qui nous attend. Il est fini le temps où l’on se moquait des écolos en les suspectant de vouloir retourner à l’âge de la pierre et de la bougie ! La sortie du nucléaire a été décidée et il est maintenant temps de prendre des mesures concrètes, à commencer par la lutte contre le gaspillage d’énergie, qui ne diminuent en rien notre confort. Les journalistes ont aussi une responsabilité dans les efforts en vue de changer les mentalités. L’article de P.-A. Brenzikofer n’y contribue guère. Roland Gurtner, Bienne »


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