Ce matin, en sortant de chez moi, le temps était au crachin avec le fouet du vent. Je croise un vieux monsieur barbu, avec une canne et un sac à dos du même âge qui n'arrivait pas à le redresser. Il me demande son chemin, je le lui donne, et le voilà qui s'en va dans la rue déserte en chantant le Ranz des vaches. Ca m'a tout à coup fichu un coup de printemps !
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